Pendant la guerre d’Indochine, Philippe Boegner, alors directeur de Paris Match, souhaitait montrer la guerre sous un angle différent. C’est pourquoi il a envoyé un photographe de mode en Indochine, Willy Rizzo. Le journaliste est parvenu à rentrer dans un camp de prisonniers Viet-Minh, ce qui lui a permis d’immortaliser des scènes de vie quotidienne, dans lesquelles transparait une atmosphère plus humaine qu’on ne l’imaginait. Des photos montrent le bataillon à l’interieur de la carlingue. Les visages joyeux des soldats qui chantent pour oublier le danger.
Willy Rizzo était armé d’un matériel exceptionnel : un Leica 35 mm, deux Rollei, quatre flashs éléctroniques et un Linhof avec un pied.
Exposition de photographies et design du 6 octobre 2017 au 13 janvier 2018 au Studio Willy Rizzo
Toutes les tirages argentiques sont signés par Willy Rizzo, numérotés et limités à 8 exemplaires. 34 tirages argentiques noir et blanc et couleur exposés.